AN AMERICAN HORROR STORY: The terrifying arrival of the Countess.

EPISODE 1: CHECKING IN.

Quittons le temps d'un instant l'arène de Bad Obsession pour se diriger vers Los Angeles et ses quartiers les plus lugubres. Un taxi d'époque couleur jaune moutarde vient d'arriver devant un hôtel .. l'hôtel Cortez. Ce nom vous dit peut être quelque chose ? Les plus âgés d'entre vous doivent très certainement savoir que ce lieu a été théâtre de bien des horreurs et ce depuis sa création, l'hôtel Cortez qui à l'époque était considéré comme un lieu huppé où toutes les icônes d'antan séjournaient et ce depuis sa création en mille-neuf-cent-trente par James Patrick March, tueur en série qui prenait plaisir à torturer ses clients. Cet hôtel regorge d'histoires sordides et d'art. Le caméra-man de la King Of Wrestling Federation vient de sortir du taxi après que l'on lui ai ouvert la porte, il prit un grand souffle tout en regardant la façade de cet immense lieu avant d'y entre à l'intérieur.



Les pas de l'homme à la camera doivent s'entendre dans tout l'hôtel complet si l'on en croit la résonance de ses pas. L'hôtel semble vide, pas le moindre bruit ne se fait entendre, pas le moindre mouvement ne se fait ressentir et ceci commence à angoisser le pauvre caméra-man venu initialement pour interviewer la future superstar de la compagnie disait-il. Comme son collègue initialement prévu pour cette fameuse interview, le caméra-man aurait dû lui aussi prendre un congé maladie mais il est trop tard pour s'enfuir, les portes du bâtiments se refermèrent d'un coup sec ce qui fît sursauter le jeune homme aux airs de Dylan O'Brian. Ce dernier s'avança doucement mais sûrement vers la réception, il remarqua qu'il manquait certaines clés sur le présentoir des différentes chambres ce qui le troubla fortement puisqu'il ne ressentait aucune présence humaine en ces lieux. C'est en voulant s'approcher un peu trop que le sosie de Dylan O'Brian s'appuya malencontreusement sur la sorte de clochette minutieusement placée sur le comptoir. Au bout de quelques secondes, une petite dame plutôt rondelette et avec un certain âge fit son apparition, le caméra-man qui s'était redresser à temps esquiva donc les potentielles questions de la dame aux épaisses lunettes noires.

IRIS - Pas la peine de sonner. Je vous avez entendue, je ne suis pas sourde.

CAMERAMAN - Bonsoir, excusez moi madame. Je suis là pour rencontrer la fameuse comtesse. Je travaille pour la KOF et je suis en charge de l'entretient qui a été prévu par mon collègue.

IRIS - Oh malheureux, vous ne savez pas dans quoi vous vous embarquez.

CAMERAMAN - Et pourquoi donc ? On m'a pourtant dit que cette fameuse comtesse était une personne des plus intéressantes et cultivées qui soit. Et si j'en croit la décoration de ces lieux, elle a un certain goût pour l'art. N'est-ce pas ?

IRIS - Je ne peux que constater que vous avez piocher quelques informations sur ce que vous appelez le web .. par ailleurs nous n'avons pas la wi-fi. Il y a certaines informations que l'on ne trouve qu'ici mais les gens qui arrivent à les obtenir disparaissent tellement vite qu'ils ne peuvent pas les publier sur n'importe quel site web destiné à promouvoir cet hôtel. J'espère pour vous qu'il s'agit de l'un de ses plus beaux jours, sinon, je ne peux pas vous garantir que vous allez sortir d'ici.

Le caméra-man est vraiment sur le point de dégurgiter et pourtant, il n'a encore rien vu. La vielle dame retourna de là où elle était venu pour laisser place à Liz Taylor, un homme, une femme ? C'est très difficile à dire. Cette grande chauve vêtue d'une somptueuse robe colorée attrapa la main de notre sosie de Dylan O'Brian pour l'emmener jusqu'à l'ascenseur, les deux entrèrent à l'intérieur .. c'était plutôt glauque, on n'y voyait quasiment rien.



LIZ TAYLOR - Angoissé ?

CAMERAMAN - Un peu.

LIZ TAYLOR - Il ne faut pas. Toutes les créatures de cet hôtel parviennent à sentir cette angoisse .. et c'est justement celle-ci qui vous conduira à la perte. Prenez une grande respiration, faîtes tout ce qui est possible pour vous endurcir. Lorsque je suis arrivée ici, j'étais un peu dans le même cas que vous, et pourtant je suis toujours là, à l'époque, je n'ai reçu aucun conseil pour m'aider à survivre dans cet environnement.

CAMERAMAN - Elle est si terrible ?

LIZ TAYLOR - Oui mais cela dépends de son appétit. Si elle veut vous laisser la vie sauve, elle le fera mais pas sûr que les autres créatures qui hantent cet hôtel soient du même avis.

CAMERAMAN - Mais qui sont-ils ?

LIZ TAYLOR - Elle me tuerai si je vous disais quoi que ce soit sur les différents résidents de l'hôtel mais tout comme l'univers de la KOF, vous les découvrirez assez vite.

Ding ! Les portes s'ouvrent sur un long couloir un peu différents des autres, les murs et la décorations sont beaucoup plus moderne et avant-gardiste. Soudain un lourd bruit se fait entendre, l'ascenseur s'est enclenché pour descendre avec à l'intérieur la fameuse Liz Taylor. Le Caméra-Man souffle un bon coup, on entends son coeur s'accélérer alors qu'il s'approche de la porte où l'on peut lire: "Penthouse". Il s'agît de la chambre de la comtesse, elle se trouve au tout dernier étage de l'hôtel. L'homme ouvrit la porte avec la main un peu tremblante et il tomba directement sur celle qu'il était venu voir.



Elle est si belle et si jeune. La Comtesse est vêtue d'une façon plutôt sexy mais aussi chic à la fois grâce à la fourrure bleu qu'elle garde sur elle le temps que le sosie de Dylan O'Brian arrive face à elle. Une fois ceci fait, elle se lève de façon plutôt sensuelle et fait quelques pas, le bruit de ses talons se fait autant entendre que la forte respiration du caméra-man.

ELIZABETH - Bonsoir. Pourquoi vous tremblez comme ça ? Ah, les draps. Oui la blanchisseuse n'a pas encore eut le temps d'effacer toutes ses tâches de sang.. Mais ne vous inquiétez pas, je suis rassasiée et je ne suis pas sur un ring. Je me présente, Comtesse Elizabeth Johnson, propriétaire de cet hôtel. Vous êtes là pour m'interviewer mais vu votre état, je pense que je vais moi même m'occuper de ma présentation. On dit de moi que je suis immortelle et que je me nourris de sang .. c'est vrai. Je ne suis pas une sorte de vampire, ils n'existent que dans les fictions. Je suis atteint d'un virus que m'a transmis mon premier mari, James Patrick March. La beauté de ce virus c'est que je ne peux plus vieillir, grâce à celui-ci mes défenses immunitaire sont dopées, mes capacités physiques sont multipliées faisant de moi une sorte de sûr-homme et ceci se verra sur le ring dès mes débuts à Domination.

La belle blonde fait quelques pas et vint se placer derrière le caméra-man, elle vint placer ses mains sur son torse, on peut remarquer que ses ongles sont .. tranchant ! Elle vient de faire une légère incision sur le pectoraux droit de l'homme avant d'y passer son doigt pour goûter son sang.

ELIZABETH - Je n'en ai pas goûter un aussi bon depuis des années .. aujourd'hui tout le monde se drogue et le sang de Junkie .. c'est vraiment dégueulasse.

Le sosie de Dylan O'Brian se lève d'un coup et tente de s'enfuir, il court jusqu'à la porte puis jusqu'à l'ascenseur mais il tombe face à un homme, un homme très beau. Il s'agit de Donovan, l'une des créations de la comtesse, elle l'a sauver de la mort en lui transmettant le fameux virus, il est également le fils d'Iris que l'on a pu voir précédemment. L'homme attrape le caméra-man lui faisant tomber sa caméra, la comtesse l'a ramasse puis adresse quelques mots avant d'en finir avec la transmission.

ELIZABETH - Ne vous inquiétez pas pour lui .. nous allons lui trouver une chambre pour la nuit. Quand à nous, on se retrouvera très bientôt.

EPISODE 2: A STRANGE TENANT NAMED SALLY.

??? - Bonsoir madame .. Aux dernières nouvelles, mon mari se trouve ici. Il ne réponds pas à mes appels ni à mes texto et c'est vraiment inquiétant vu ce qui a été diffusé à la télévision il y a de cela quelques semaines ..

Comme vous le devinez sûrement, nous sommes de retour dans le lugubre Hotel Cortez de Los Angeles, cela fait un moment que nous n'y sommes pas retourner et pourtant bien de choses se sont passées à l'intérieur mais vous allez les découvrir bien assez vite. La voix que vous venez d'entendre tremblotait plutôt pas mal .. le froid sûrement ou bien alors les regards intrigants lancés par certains clients .. Bonne question mais la dame ne va certainement pas vous répondre puisque vint alors à elle la fameuse Iris, la vieille dame à la paire de lunette démesurée n'a pas vraiment le sens de l'hospitalité mais elle est pourtant chargée d'accueillir les clients.



IRIS - Votre mari ? Encore un nodocéphale qui vient à l'hôtel pour tromper sa compagne. Il ne revient pas ? Vous êtes un si mauvais coup madame la doctoresse .. Lowe ?

DR. ALEX LOWE - Comment osez-vous madame ?! Non mon mari, John, n'est absolument pas comme ça, c'est un homme très respectueux et attentionné .. certes il est assez lunatique et perdu à certains moments et nous avons souvent dû nous séparés à cause de son ancien métier .. il était policier mais j'ai tout fait pour qu'il quitte cette profession, ça le ménageait trop et je suspectais sa collègue Cathy de lui faire du rentre dedans .. le pauvre garçon ne sait pas dire non à quoi que ce soit.. Mais pourquoi est-ce que je vous raconte ça d'abord ? Dîtes moi juste où est-ce qu'il se trouve.

IRIS - Et pourquoi est-ce que je devrais vous faire cette faveur ? La responsable de cet hôtel m'a affirmait qu'il était en sécurité. Et puis, si vous êtes réellement attachée à lui pourquoi ne pas être venue plus tôt ? Cela fait quasiment deux semaines que votre mari a disparu et vous venez que maintenant avec la bouche en coeur, c'est ridicule et insultant pour ce pauvre monsieur qui mérite de toute évidence une épouse bien plus nette.

DR. ALEX LOWE - Comme je vous l'ai dit, nous nous sommes séparés plusieurs fois, je pensais au début qu'il avait besoin de temps mais j'ai par la suite découvert par hasard qu'il avait été kidnapper par une dame blonde et son espèce de cabot !

IRIS - NE PARLEZ PAS DE DONOVAN DE CETTE FACON ! Il est bien plus que ça ! Maintenant tirez-vous d'ici !

Les deux femmes pourraient en venir aux mains si le comptoir de la réception ne les séparer pas. Heureusement pour elles, une autre personne vient se joindre à la conversation, il s'agît de Sally McKenna mais tout le monde ici l'appelle Sally. Elle est la VIP permanente de cet hôtel et pour cause, elle ne peux pas le quitter. En effet, cette dernière a été défenestrer par la manageur de ce lieu à savoir Sally, et oui, derrière ses airs de mamie rochon se cache une véritable meurtrière qui tue pour protéger la famille qu'elle essaye d'entretenir avec son garçon Donovan. Flashback en 1994, où Iris observe Donovan, alors jeune et vêtu de façon débraillée, entrer au Cortez avec Sally, Junkie et femme de joie. A l'accueil, Liz Taylor. Iris entre et demande à l'homme habillée en femme dans quel chambre ils se trouvent, mais cette dernière ne lui dit rien préférant ne pas avoir de problème avec la résidente star. Dans la chambre, Sally s'injecte de la drogue et donne sa seringue à Donovan. Celui-ci, réticent au départ du fait de partager la même aiguille que Sally, finit par se l'injecter. Au même moment, Iris entre dans la chambre et découvre que Donovan est évanoui. Elle tente de faire réagir son fils, en vain. La vieille dame veut que Sally appelle les urgences, mais la junkie ne veut pas et le fait bien comprendre en se moquant de la situation. De colère, Iris surprend Sally par derrière et la pousse par la fenêtre.  





SALLY - Laissez là ! Ce n'est qu'une vieille mégère ! Suivez moi, je vais vous montrer où se trouve votre mari.

DR. ALEX LOWE - Merci..

Les deux femmes partent donc du côté de l'ascenseur et comme la dernière fois, la montée se fait longue et trouble .. pour passer un peu ceci et pour ne pas perdre connaissance car oui c'est assez éprouvant, la doctoresse plaça quelques mots afin d'engager une conversation avec la Junkie.

DR. ALEX LOWE - Je ne sais pas comment je ferai sans mon mari, vous savez, j'ai déjà perdu mon petit garçon il y a deux ans. Il a été kidnapper lors d'une fête foraine dans les environ et tout ça parce que John était trop occupé par son boulot .. je ne rejette pas la faute sur lui mais un peu quand même .. je ne peut pas me permettre de le perdre car je me retrouverais donc seul avec ma petite fille.

SALLY - Vous n'avez aucune idée de ce que c'est d'être seule mais alors vraiment pas. La solitude est mon plus grand cauchemar et j'ai l'impression de le vivre jours après jours .. mais vous savez, tout ceci a changer depuis que j'ai découvert votre mari, c'est un homme avec des valeurs .. même si celles-ci n'ont aucunes valeurs en ces lieux, je peux faire ce que je veux de qui que ce soit ici.

DR. ALEX LOWE - Comment ça ?

SALLY - C'est simple, j'obtient tout ce que je veux et si ça ne se fait pas par la parole, je l'obtient par la force. C'est comme avec votre mari, John. J'ai voulu m'amuser un peu avec quelques soirs et j'avais juste à claquer des doigts.

DR. ALEX LOWE - Ce n'est pas possible, vous mentez !

SALLY - Et bien si je mentais comment est-ce que je pourrais savoir qu'il a un grain de beauté sur sa verge ?

Il faut se rendre à l'évidence, il s'est bel et bien passer des choses entre Sally et John, mais bon elle sait jouer de l'aiguille et a sûrement user de ses dons pour en faire son jouet comme elle aime le faire avec certains clients de l'hotel. Soudains, les portes s'ouvrent sur un long couloir.

SALLY - Au bout du couloir à gauche.

Dit-elle avant de disparaître on ne sais-où. La femme de John s'empressa de s'y rendre d'un pas ferme bien décider de régler comptes de son mari. Arrivé face à la porte numéro 64, elle entra sans même frapper. Sur le lit, son mari allongé en petite tenue .. du sang, sur touts les draps. La blonde vient alors le secouer dans touts les sens pour voir si il réagis, et ce dernier reprends peu à peu connaissance.

DR. ALEX LOWE - JOHHHHNN ! JOHHHNNNN ! MAIS QU'EST CE QUE TU AS FAIT ?! QU'EST CE QUE TU AS FAIT ?!

JOHN LOWE - Mon .. boulot...

C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase pour la doctoresse qui en a vraiment marre que son mari privilégie d'avantage son job que sa vie de famille. Elle attrape un poignard posé au sol et anormalement parsemé de tâche rouge et le présente au dessus de son mari pour le menacer .. c'est alors que la porte de la chambre se met à claquer, la blonde se retourne et tombe sur la comtesse Elizabeth et un petit garçon à la chevelure blonde platine.



ELIZABETH - Je ne ferai pas ça si j'étais vous au risque d'heurter la sensibilité et toute la pureté de notre cher petit Aiden. D'ailleurs Aiden, soit poli et dit bonjour à ta génitrice.

AIDEN - Bonjour maman.

DR. ALEX LOWE - Imposture ! Ce ne peut être réel ! Aiden aurait dû avoir dix ans aujourd'hui, et il n'en parait que 5 encore !

ELIZABETH - Aiden ne grandit plus .. il est génétiquement modifié et programmé pour rester jeune et altruiste. C'est mon petit garçon désormais et ce, depuis que je l'ai trouver lors de cette fête foraine. Je m'occupe d'enfants dont les parents ne portent guère attention à leur progéniture .. je leur offre un virus faisant d'eux des immortels et eux m'offre l'opportunité d'être mère. N'est-ce pas magnifique ?

DR. ALEX LOWE - Rendez moi mon petit garçon .. MAINTENANT!

ELIZABETH - Je n'y vois pas d'inconvénient .. chère madame.

La propriétaire de l'hôtel Cortez place donc une main sur le dos d'Aiden le poussant à rejoindre sa mère, ce dernier n'a pas l'air très ravi mais y va quand même .. lorsque Alex Lowe vient carresser la chevelure blonde de son bambin .. arrive derrière elle, Sally avec une seringue contenant un liquide épais et noir .. BAM ! Dans le cou et voilà que la mère s'effondre au sol et qu'elle se met à éjecter du sang de sa bouche.



ELIZABETH - Aiden, ton repas est servis. Va donc regarder la télévision après, tu y verras peut être maman. Je t'aime.

Lui dit-elle. C'est ainsi que s'achève se petit passage à l'hôtel Cortez, on aura donc appris l'identité du caméra-man sosie de Dylan O'Brien, John Lowe. Mais aussi d'avantage d'éléments concernant le passé de Donovan, la façon dont est morte Sally et l'arrivée d'Iris à l'hôtel Cortez. Mais une question se pose encore et toujours, qui est donc cette fameuse comtesse ?!

EPISODE 3: HALLOWEEN HAVOC IS COMING.

La nuit d'Halloween approche, alors que les plus jeunes préparent tranquillement leurs costumes afin de s'adonner à la quête de friandises, d'autres personnes plus âgées s'apprêtes quand à eux à se mêler à la terrible nuit du démon. La nuit du démon a lieu le soir d'Halloween c'est à dire le 31 Octobre .. du moins pour les plus novices. Les personnes ayant un minimum d'expérience savent très bien qu'ils doivent taper fort le soir précédent la nuit du démon et plus précisément alors le 30 Octobre, soir où se déroulera Halloween Havoc, le pay-per-view de la King Of Federation Wrestling à Boston dans le Massachusetts. Pour l'heure, à une semaine de ce grand événement, nous nous trouvons en Californie, à l'hôtel Cortez en compagnie d'un homme qui d'apparence est très délicat et soigné mais qui est en réalité un tueur extrêmement sadique qui aime voit souffrir ses victimes. Cet homme est anti-religieux au possible, un comportement influencé par son père, qui lui a inculqué de fortes convictions religieuses. C'est ce qui l'a poussé à avoir une aversion pour Dieu et à défier tous les croyants. Cet homme est également l'homme à l'origine de cet hôtel construit dans les années 20 .. Ne vous étonnez pas de le voir aussi jeune, il est à l'origine du virus offrant la vie éternelle à celui qui le porte dans son corps.



JAMES PATRICK MARCH - Mais n'ayez pas peur, voyons approchez. Avant toute chose je tient à faire ma présentation. Je suis James Patrick March, le fondateur de ce somptueux hôtel qu'est l'hôtel Cortez, dans lequel j'y ai mit chaque atome diabolique de mon être dans sa construction. Je suis un homme autodidacte et ce depuis mes plus tendres années, le pétroles et le charbons m'ont permis de m'enrichir faisant de moi l'une des plus grandes fortunes américaine à l'époque, preuve qu'être un homme intelligent mène au succès et à l'argent. Toutefois j'étais un parvenu .. j'ai été jeté par les élites de la haute société de la côté est .. c'est pourquoi je suis aller vers l'ouest qui était une terre où la classe sociale avait beaucoup moins d'importance quand vous aviez de l'argent. Et c'est donc comme ça que j'ai construit un bâtiment symbolisant l'excès et l'opulence, un endroit où je peux satisfaire touts mes appétits particuliers. A l'approche de la nuit du diable, je vous laisse découvrir une partie de ma vie.

Nouveau petit flashback cette fois-ci en 1925, habituez vous dès maintenant à jongler entre les époques car vous suivez je vous le rappel des personnages ayant la vie éternelle et qui ont vécu plusieurs époques au cours de leurs existences. March étant un fana de conception et d'art déco toujours autodidacte contacta Julia Morgan pour qu'elle puisse oeuvrer à la création du Cortez mais celle-ci demanda à ce que les ouvriers soient correctement payé c'est pourquoi il l'envoya paître. Il contacta alors un architecte lambda à la réalisation de son bijou qu'il avait dessiné sur mesure.

 

JAN MARTEL - Il y a une partie de ces plans qui n'ont pas de sens du tout. Je veux dire il y a des couloirs entiers qui n'amène à aucune chambres .. On dirait que vous voulez nous faire construire une espèce de système de passage secret. 

JAMES PATRICK MARCH - Evidemment que ça n'a pas de sens ! Vous n'avez pas les bons ! Vous travaillez sur de vielles versions ! Venez avec moi jusqu'à mon bureau, je vous montrerai les nouvelles.

Sur le chemin vers le bureau du constructeur de l'hôtel, les deux hommes parlèrent d'argent. James avoua que sa plus grande malédiction fût d'avoir fait fortune trop tôt. Il déclara également qu'il n'était pas un riche comme les autres, leurs appétits étaient trop spécifique bien loin de ceux que pourraient avoir l'homme lambda. Une fois passé la porte du bureau, James déclara qu'il contenait son appétit par la création de cet hôtel et également par son art et lorsqu'il voulait réellement ressentir cette vraie plénitude il tuait pour son plus grand plaisir. Jan Martel chef du chantier n'eut pas le temps de comprendre qu'il fût transpercer à la gorge avec un pique avant d'envoyer son cadavre dans le vide ordure qui avait été crée avec un système de trappe pour mieux faire disparaître les corps des victime du meurtrier. Il n'était pas juste en train de construire le plus bel hôtel que Los Angeles ait connu, c'était aussi une parfaite chambre de torture. Une couverture idéale pour touts ses meurtres: tout d'abord des conduits secrets, des chambres pour stocker et cacher les corps, des couloirs sans issus où les murs étaient doublés d'amiante afin de couvrir touts cris.

 
 

Les gens qui entraient dans l'hôtel disparaissaient, "Pas de corps, pas de crimes" disait-il. James avait une femme, on disait qu'il l'a forcer à regarder ses tortures. Personne ne sait combien sont morts même si des moyennes parlent de trois par semaines .. ou plus si il sortait d'une cuite. Les tortures de James étaient d'une folie démesurée, il a parait-il enfermer une femme claustrophobe dans un mur de brique ou bien griffer à mort à l'aide de pique une autre alors qu'il lui faisait l'amour. Il alla jusqu'à tuer le frère de l'architecte: Joël Martel. Ce dernier suspectait March de la mort de confrère .. mais il était trop tard. Si la police a mit autant de temps avant de pouvoir mettre la main sur le tueur, c'est parce que ce dernier avait une dame de chambre de qualité: Miss Evers.

 

Sa loyale servante mademoiselle Evers était la blanchisseuse. Elle disait qu'elle pouvait venir à bout de n'importe quelle tâche pour monsieur March en utilisant un ingrédient secret: l'amour. Elle l'aida dans son plus grand coup de folie, c'était un dimanche. Evers l'aida à déplacer plusieurs corps défunts en dehors de l'hôtel et à les disposer de façon à former une série de trois lettres: "JPM" avec autours d'eux une quantité impressionnante de bible, lui qui détestait n'importe quelle croyance. C'était le coup de trop, il avait été trop négligeant sur ce coup en dehors de l'hôtel, un carte de visite avait été oubliée dans l'une des bibles ce qui amena la police à lui. March n'en crû pas un seul mot, il pensait qu'on l'avait balancer .. il pensait à sa femme, lui une fois partit, elle héritait de tout .. touts ses millions. 

MRS. EVERS - Je suis désolée de vous déranger monsieur .. J'ai vraiment de mauvaises nouvelles. La police est ici.

La police arriva donc à l'hôtel à l'instant où James s'y attendait le moins .. aucun doute pour eux, c'était lui le meurtrier. L'un d'entre eux plaça son arme en direction du créateur de l'hôtel et au moment où il tira, mademoiselle Evers s'interposa et prit la première balle afin de sauver celui qu'elle aimait.. S'en suivirent une quantité impressionnante de balle qui mirent au sol le meurtrier .. la vie n'était pas fini pour lui, elle venait de commencer, étant immortel, il réapparu par la suite dans l'hôtel sous forme de fantôme plus vrai que nature. 



ELIZABETH - Cela faisait longtemps que nous nous étions pas rencontrer .. j'espère pour vous que vous avez profiter de cet instant de répit pour faire vos prières car mon arrivée est imminente et j'ai prévu de taper très fort pour cette première. Mais pour l'heure, je vous laisse découvrir une partie de mon passé, ma rencontre avec James Patrick March l'un de mes amants les plus scandaleux.

Nous nous retrouvons toujours en 1925, un an jour pour jour avant la mort de James. Etant actrice dans les années 20, Elizabeth Johnson ainsi que son équipe de tournage furent invités à l'inauguration de l'hôtel Cortez. Alors que James Patrick March vient de porter son toast dans sa propre suite, un journaliste rentre dans la salle annonçant la mort de Rudolph Valentino qui n'est autre que l'acteur le plus célèbre à ce moment là mais aussi l'amant secret de la jeune actrice surnommée alors Little Mouse. Bouleversée par cette tragédie, Elizabeth s'empressa de quitter la salle pour se diriger vers l'un des couloirs se terminant par une fenêtre avec l'idée de se défenestrée (comme l'a fait quelques années plus tard Sally). Alors qu'elle s'apprêtait à se jetée dans le vide, des bras musclés vinrent la serrer afin de l'amener au sol, James Patrick March était derrière elle sentant alors son pauvre petit coeur battant à la chamade. Alors qu'elle le supplier de la laisser partir, le créateur du Cortez lui répondit alors qu'il avait de bien meilleurs projets pour elle .. 

ELIZABETH - J'étais seule au monde. Désespérant seule, j'ai donc décider que si je devais vivre sous le poids d'un chagrin éternel autant le faire tout en m'entourant de belles choses. Même si c'était avec un homme avec lequel je ne ressentais .. rien du tout. J'étais attirée par les ténèbres que je sentais en lui. Je n'avais qu'une envie, c'était que les ténèbres me dévorent.

 

Elizabeth Johnson se maria donc à James Patrick March, un mariage qui leur profitait à touts les deux. Et il ne fallût pas longtemps pour qu'il lui donna le virus, lors de leur premier rapport lors de leur nuit de noce à l'Hôtel. Tout comme il ne fallût pas plus de temps pour qu'elle découvre ses activités meurtrières, elle le surpris en entrant dans l'une des chambres dans l'hôtel où elle entendu des bruits étranges ...

 

JAMES PATRICK MARCH - Euuuuh ....

ELIZABETH - Qui est-ce ?

JAMES PATRICK MARCH - Un clochard ramassé dehors .. Tu désapprouves je suppose ?

ELIZABETH - Bien sûr que oui. Tu perds ton temps à massacrer un pauvre homme sans sou. Qu'est-ce que ça rapporte ? Choisie une victime qui a de l'argent ou des bijoux et ton petit hobbie nous profitera à touts les deux. Et lorsque tu recommenceras, je veux regarder !

Et vous connaissez la suite, James Patrick March fût tué puis ramené à la vie grâce au virus qu'il a développé. Alors que nous réserve la comtesse pour Halloween Havoc après nous avoir dévoiler une partie de son passé ? Réponse très prochainement !